Mort de Claude Brasseur : l’homme, ses films et ses voitures


Claude Brasseur fit une courte apparition dans la campagne de pub "Tranches de vie" de Renault en 1985. Sur fond de Robert Palmer, on le voit au volant d'une Alpine GTA.

Claude Brasseur fut propriétaire d'un des 1 200 exemplaires produit de l'Aston Martin DB 4.

Claude Brasseur fit restaurer un exemplaire d'une Austin Healey 3000 Mark II.

Une CX 2400 GTI servit de base à l'engin qui permit à Jacky Ickx et Claude Brasseur de débuter au Paris Dakar, lors de l'édition 1981.

Dans les années 1970, Claude Brasseur se relevait la nuit pour écouter les vocalises du V12 Ferrari de sa 275 GTB.

Amateur de voitures britanniques, Claude Brasseur fit notamment l'acquisition d'une Jaguar XK120.

Confortable et sérieuse, la grande berline nippone fut l'une des dernières voitures de Claude Brasseur.

Pierre Espinasse, dit Brasseur, le père de Claude, était un acteur reconnu, jouant notamment dans Quai des brumes et Les enfants du paradis. Ses cachets lui permirent d'acquérir une 300 SL qui impressionna beaucoup son fils.

En 1983, Jacky Ickx et Claude Brasseur remportent le Paris-Dakar en Mercedes Classe G. L’engin rustique, donné pour 220 ch, est équipé d’un déflecteur aérodynamique arrière favorisant l’écoulement de l’air.

Pour mettre en avant la transmission intégrale de sa nouvelle supercar, Porsche engage des 959 au Paris-Dakar 1986. René Metge et Dominique Lemoine s'imposent devant Jacky Ickx et Claude Brasseur.

Dans La Boom, Claude Brasseur interprète le père de Vic (Sophie Marceau). Il subit notamment une déculottée devant le lycée Henri-IV à Paris et quitte le lieu de la bagarre dans sa Rancho.

Dans Un Éléphant ça trompe énormément, Daniel (Claude Brasseur) et Etienne (Jean Rochefort) circulent dans la berline anglaise la plus classe de l'époque...

Egérie des rallymen des années 1970, la citadine sportive de Poissy fut aussi le jouet des vedettes de l'époque au sein du Star Racing Team.