Essai Mercedes EQB : notre avis au volant du SUV électrique 7-places

En ville, on apprécie la possibilité de choisir son mode de régénération via des palettes au volant.

Paisible sur route, l'engin demeure sécurisant.

L'EQB mesure 4 centimètres de plus que l'EQB en raison de pare-chocs plus proéminents.

Les barres de toits ou les passages de roues carrés accentuent l'image de baroudeur qu'entend avoir l'EQB.

La face avant reprend la calandre "aveugle" des EQA et EQC.

La puissance de recharge est plafonnée à 100 kW en courant continu.

L'EQB n'opte pas pour des caméras mais pour de traditionnels rétroviseurs d'un bon format.

Les feux de l'EQB sont moins carrés que ceux de son cousin, le GLB.

La troisième rangée n'est pas accueillante pour les grands gabarits.

L'écran central se distingue par sa rapidité d'exécution.

Notre version 350 sera bientôt compléter par une "traction" 250.

La qualité des matérieux demeure une constante chez Mercedes

La planche de bord reprend les codes habituels de la marque : double écran, aérateurs turbines, commande de rapport au volant...