Petit nouveau dans la gamme Toyota, le Cargo Verso s’adresse tout particulièrement aux professionnels. Nombreuses configurations, légèreté et maniabilité, solutions de financement, d’entretien et d’assurance directement fournies par la marque… Ce vélo cargo fait tout pour faciliter la vie des travailleurs !
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Depuis l’automne 2023, Toyota propose au sein de sa gamme de véhicules particuliers et utilitaires un modèle un peu à part : le Cargo Verso. Conçu avec le spécialiste français Douze Cycles près de Dijon (Bourgogne), ce vélo cargo électrique s’adapte à de nombreuses utilisations grâce à ses trois configurations : plancher pro, caisson “Wide box” avec couvercles rigides “hard top” ou bien souples, “soft cover”, et avec ou sans sièges enfants. Le biporteur vise les familles, mais aussi les professionnels.
Que ce soit en complément de leurs véhicules utilitaires traditionnels ou même en remplacement de ces derniers, le Cargo Verso se plie en quatre pour faciliter l’activité des pros. Les adeptes de la livraison du dernier kilomètre, les artisans de tous corps de métiers (plombiers, électriciens, ébénistes, jardiniers…) ou encore les collectivités locales y trouvent un compagnon idéal dans les centre-villes parfois très fréquentés, et pas toujours accessibles en véhicule. C’est d’autant plus vrai dans les villes qui restreignent de plus en plus l’accès aux véhicules, entre dédales de sens uniques, zones piétonnes à accès règlementé et ZFE, ou encore places de stationnement réduites et au coût prohibitif.
Véritable petit déménageur, le Cargo Verso peut embarquer jusqu’à 100 kg de charge utile, voire 125 kg en comptant le porte-bagages de série situé à l’arrière. Grâce au plateau de 85 cm de long situé entre la roue avant et le guidon, le Cargo Verso peut loger deux caisses de matériel, aux normes européennes de 40 cm par 60 cm. Le vélo est aussi proposé avec un grand bac de rangement en polypropylène expansé. Cette “Wide box” peut accueillir jusqu’à 270 litres de contenance. De quoi stocker bien des outils ou de la marchandise !
Même en étant bien chargé, le vélo cargo de Toyota se manœuvre facilement grâce à un moteur électrique Yamaha de 250 Watts. L’assistance électrique réglable sur six niveaux permet de se faufiler dans les rues embouteillées sans effort, et même de grimper les côtes sans transpirer. Toyota annonce 100 km d’autonomie sur une charge, suffisant pour les trajets du quotidien. La batterie de 500 Wh est amovible, ce qui évite la contrainte de recharge dans la rue contrairement à un véhicule électrique classique. Ainsi, elle se branche sur une prise domestique, et récupère toute son énergie en 4 heures.
Le cadre en aluminium sans soudure et la conception globale légère (45 kg) offrent un bon équilibre entre maniabilité à basse vitesse et stabilité à vitesse plus soutenue. Si le fait d’avoir une petite roue de 20 pouces très en avant de ce vélo de 2,75 m peut déstabiliser au départ, l’angle de braquage de 75 degrés, la direction par câbles plus douce qu’une direction par tringle et la position de conduite réglable en hauteur (selle et guidon réglables) permettent de se familiariser avec l’engin plutôt rapidement.
Pour les professionnels, l’avantage est aussi du côté du financement. Le vélo étant vendu directement par Toyota France dans plus de 270 concessions, la marque peut proposer des solutions de financement adaptées. Le professionnel peut décider d’acheter son vélo cargo comptant, s’il sait qu’il va l’utiliser au quotidien et le rentabiliser rapidement (réduction du coût du carburant et du stationnement, bonus vélo de 1 000 € et aides de l’État selon la région…), ou opter pour une formule de location en LOA. En ce moment, le vélo est proposé à partir de 99 €/mois (soit 3,3€/jour HT) pendant 37 mois en location avec option d’achat*. Un bon moyen de vérifier qu’il convient à son utilisation avant d’équiper toute sa flotte !
L’entretien du Cargo Verso se fait aussi dans le réseau Toyota, avec des outillages spécifiques et des techniciens formés pour l’occasion. Le service après-vente est donc assez transparent, comme pour un véhicule traditionnel, et les points de vente nombreux et bien répartis dans toute la France facilitent le suivi. Toyota préconise un premier entretien après deux mois ou 300 km d’utilisation. Par la suite, la marque propose un entretien régulier tous les 1 500 km dans son réseau. Les concessionnaires sont équipés d’un logiciel connecté au vélo pour diagnostiquer les problèmes éventuels. Et pour faire face aux problèmes, justement, Toyota propose aussi une offre d’assurance complémentaire. Dès 29 € par mois*, elle couvre les dommages accidentels, le vol ou le vandalisme. La garantie corporelle du cycliste, un service de protection juridique ou encore une assistance avec véhicule de remplacement sont également compris dans ce forfait.
*Voir conditions sur le site.
