Difficile de passer inaperçu lorsqu’on convoie l’une des citadines françaises les plus en vue du moment. Ou plutôt sept citadines unicolores, reprenant la robe du concept-car dévoilé en 2021 et qui accompagne la communication de la voiture depuis sa révélation, sous sa forme définitive, lors du salon de Genève, en mars dernier. Une armée de R5 électriques confiées à la concession de Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, avant d’être probablement dispatchées chez les revendeurs environnants.

Mais, dans l’immédiat, inutile de vous ruer dans le point de vente Renault le plus proche en espérant obtenir l’un des premiers exemplaires. La puce du Losange n’a vocation, pour le moment, qu’à être exposée dans les showrooms les plus en vue afin qu’elle rencontre son public, souvent pour la première fois. Car, si la prise de commande est bien effective, les premières livraisons ne sont pas attendues avant l’automne, après la publication des premiers essais réalisés par la presse, dont Auto-Moto, bien évidemment, qui sera en première ligne pour vous livrer un verdict, volant en main.

Positionnement premium au lancement

Cocorico ! La nouvelle Renault 5 sera bel et bien fabriquée en France, dans l’usine de Douai, la rendant ainsi éligible au bonus écologique de 4 000 €. Malgré cet effort consenti par les pouvoirs publics, il faudra toutefois s’ alléger au minimum de 29 490 €, la belle ne se rendant disponible qu’en haut de gamme, pour le moment, via un bloc de 150 ch mu par une batterie de 52 kWh. Plus modeste, la version de 95 ch associée à une pile de 40 kWh ne se rendra disponible que l’an prochain, à un tarif évoluant autour de 25 000 €, hors aide de l’Etat.

Pour résumer

Alors que le carnet de commande de la R5 est officiellement ouvert, les premiers exemplaires arrivent chez certains revendeurs.

Rédacteur

Par Julien Jodry
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