Volvo XC60 : quelle version choisir en 2023 ?

Volvo la plus vendue dans le monde, le SUV XC60 se décline chez nous en diesel et en hybride rechargeable. Quelle version choisir ? Auto Moto vous guide.
Volvo la plus vendue dans le monde, le SUV XC60 se décline chez nous en diesel et en hybride rechargeable. Quelle version choisir ? Auto Moto vous guide.
Son âge avancé aurait pu le conduire dans la rubrique “Faut-il encore acheter ?”. Mais du haut de ses six ans, et après un restylage bienvenu en début d’année 2022, le XC60 reste le modèle phare de Volvo à l’échelle mondiale. Le temps semble d’ailleurs n’avoir aucun effet sur son attrayante carrosserie.
Ce SUV suédois cultive la différence avec ses potentiels rivaux allemands nommés Q5, X3 ou GLC, notamment au chapitre de la présentation, avec une ambiance chaleureuse, raffinée et, surtout, plus élégante que spectaculaire. Son écran tactile de 9 pouces peut ainsi sembler petit, mais il se révèle facile à utiliser et joliment présenté, profitant au passage de la très fonctionnelle navigation Google Map.
Le confort prime à bord, en particulier avec l’amortissement piloté, en option, et avec des sièges qui se révèlent également très accueillants. Le XC60, doux en ville mais pas franchement dynamique, présente toutefois un très bel agrément de conduite malgré un poids pour le moins conséquent.
La version d’accès, appelée Start (à partir de 59 230 €), dispose de :
La finition Plus (à partir de 62 180 €) ajoute :
La version Ultimate (à partir de 69 780 €) ajoute :
La finition Black Edition, (81 630 €), réservée à la version T6 Recharge, ajoute :
La finition Polestar Engineered (87 480 €), uniquement avec T8 Recharge, ajoute à la version Ultimate (sauf toit ouvrant et climatisation à quatre zones) :
Notre conseil : les versions de base se montrent déjà très bien équipées mais, pour le confort comme pour la revente, la finition Plus paraît plus recommandable. Au-delà, c’est le grand luxe…
Le Pack Protection (435 €) se compose d’un tapis de coffre et d’un tapis d’habitacle en plastique moulé, d’une protection du seuil de coffre et d’écrous de roues antivol. La caméra panoramique à 360° est facturée 650 €, les vitrages latéraux feuilletés 990 €, l’alarme 540 € et, la tôle de protection sous le moteur, 430 €. Le XC60 peut aussi disposer d’un amortissement pneumatique (2 430 €), des vitres arrière et du hayon surteintés (450 €) et, pour les enfants, de coussins rehausseurs ajustables intégrés à la banquette (280 €). La peinture métallisée est tarifée 1 000 €, le crochet d’attelage amovible semi-électrique, 1 300 €. Mention spéciale, enfin, à l’extraordinaire système audio Bower & Wilkins de 1 410 W (2 700 €).
Appelé B4, le diesel (11 CV, à partir de 59 230 €) dispose d’un système d’hybridation légère 48V revendiquant jusqu’à 10 kW, mais incapable de mouvoir à lui tout seul le XC60. En mouvement, c’est toujours le 2.0 litres biturbo qui opère. Et il manque de discrétion, à bas régime comme en accélération. Toutefois, à allure constante, ce moteur se fait oublier et n’a aucun mal à maintenir sa vitesse de croisière.
Ce quatre-cylindres développe 197 ch et 420 Nm de couple. Il n’entraîne que les roues avant (la version 4x4 a disparu du catalogue en 2022), via une boîte de vitesses automatique à huit rapports particulièrement douce mais pas franchement rapide, et ne souffre d’aucun problème notable de motricité.
Eu égard au gabarit et au poids du Volvo (1 912 kg), les performances s’avèrent honorables (0 à 100 km/h en 8,3 secondes, vitesse maxi de 180 km/h). Il y a en revanche une belle différence entre la consommation annoncée (6 à 6,5 l/100 km) et celle constatée par nos soins (7,4). Le diesel du SUV suédois s’accompagne d’ailleurs d’un malus allant de 2 726 € à 5 404 €.
C’est devenu un classique sur les gros SUV : le XC60 se décline en version PHEV, avec un moteur essence à quatre cylindres 2.0 turbo et une batterie Lithium-Ion de 18,8 kWh de capacité, alimentant une machine électrique de 107 kW (145 ch) et 309 Nm de couple.
L’autonomie annoncée, de 78 kilomètres au maximum sur un cycle mixte, paraît optimiste, comme toujours, mais le modèle suédois peut parcourir facilement 65 kilomètres sans recourir à son moteur thermique, voire plus si l’on ne circule qu’en ville. Pour la recharge, en revanche, il faut composer avec une puissance de recharge de 6,4 kW et, depuis une prise domestique, patienter une grosse douzaine d’heures pour un “plein”.
La consommation, comme toujours sur les PHEV, dépend de l’utilisation et, dans la pire des situations – longs trajets autoroutiers parcourus batterie vide – elle peut grimper jusqu’à près de 10 l/100 km. Mais avec une utilisation adaptée, ces XC60 PHEV présentent un coût d’usage intéressant.
Entre les versions Recharge T6 (15 CV, à partir de 72 130 €) et Recharge T8 (20 CV, à partir de 83 230 €), qui se partagent la même architecture électrique et affichent tous les deux 2 150 kg sur la balance, la puissance varie grâce au 2.0 litres. Il grimpe de 253 ch en T6 à 310 ch en T8, pour des puissances cumulées respectives de 350 et 455 ch.
La T6 revendique un 0 à 100 abattu en 5,7, un exercice qui ne prend que 4,9 secondes à la T8. Et dans les deux cas, la vitesse de pointe est plafonnée à 180 km/h. C’est surtout lorsque la batterie est vide que le XC60 T8 fait la différence avec le T6 mais ce dernier montre déjà des prestations remarquables, en toutes circonstances. Dans les deux cas, le SUV Volvo profite d’un réservoir identique à celui du diesel, avec 71 litres de capacité. L’autonomie totale reste donc très suffisante.
Notre conseil : la version T6, évidemment, qui se montre moins onéreuse et dont les prestations ne méritent que des éloges.
La version d’accès, appelée Start (à partir de 59 230 €), dispose de :
La finition Plus (à partir de 62 180 €) ajoute :
La version Ultimate (à partir de 69 780 €) ajoute :
La finition Black Edition, (81 630 €), réservée à la version T6 Recharge, ajoute :
La finition Polestar Engineered (87 480 €), uniquement avec T8 Recharge, ajoute à la version Ultimate (sauf toit ouvrant et climatisation à quatre zones) :
Notre conseil : les versions de base se montrent déjà très bien équipées mais, pour le confort comme pour la revente, la finition Plus paraît plus recommandable. Au-delà, c’est le grand luxe…
Le Pack Protection (435 €) se compose d’un tapis de coffre et d’un tapis d’habitacle en plastique moulé, d’une protection du seuil de coffre et d’écrous de roues antivol. La caméra panoramique à 360° est facturée 650 €, les vitrages latéraux feuilletés 990 €, l’alarme 540 € et, la tôle de protection sous le moteur, 430 €. Le XC60 peut aussi disposer d’un amortissement pneumatique (2 430 €), des vitres arrière et du hayon surteintés (450 €) et, pour les enfants, de coussins rehausseurs ajustables intégrés à la banquette (280 €). La peinture métallisée est tarifée 1 000 €, le crochet d’attelage amovible semi-électrique, 1 300 €. Mention spéciale, enfin, à l’extraordinaire système audio Bower & Wilkins de 1 410 W (2 700 €).
Appelé B4, le diesel (11 CV, à partir de 59 230 €) dispose d’un système d’hybridation légère 48V revendiquant jusqu’à 10 kW, mais incapable de mouvoir à lui tout seul le XC60. En mouvement, c’est toujours le 2.0 litres biturbo qui opère. Et il manque de discrétion, à bas régime comme en accélération. Toutefois, à allure constante, ce moteur se fait oublier et n’a aucun mal à maintenir sa vitesse de croisière.
Ce quatre-cylindres développe 197 ch et 420 Nm de couple. Il n’entraîne que les roues avant (la version 4x4 a disparu du catalogue en 2022), via une boîte de vitesses automatique à huit rapports particulièrement douce mais pas franchement rapide, et ne souffre d’aucun problème notable de motricité.
Eu égard au gabarit et au poids du Volvo (1 912 kg), les performances s’avèrent honorables (0 à 100 km/h en 8,3 secondes, vitesse maxi de 180 km/h). Il y a en revanche une belle différence entre la consommation annoncée (6 à 6,5 l/100 km) et celle constatée par nos soins (7,4). Le diesel du SUV suédois s’accompagne d’ailleurs d’un malus allant de 2 726 € à 5 404 €.
C’est devenu un classique sur les gros SUV : le XC60 se décline en version PHEV, avec un moteur essence à quatre cylindres 2.0 turbo et une batterie Lithium-Ion de 18,8 kWh de capacité, alimentant une machine électrique de 107 kW (145 ch) et 309 Nm de couple.
L’autonomie annoncée, de 78 kilomètres au maximum sur un cycle mixte, paraît optimiste, comme toujours, mais le modèle suédois peut parcourir facilement 65 kilomètres sans recourir à son moteur thermique, voire plus si l’on ne circule qu’en ville. Pour la recharge, en revanche, il faut composer avec une puissance de recharge de 6,4 kW et, depuis une prise domestique, patienter une grosse douzaine d’heures pour un “plein”.
La consommation, comme toujours sur les PHEV, dépend de l’utilisation et, dans la pire des situations – longs trajets autoroutiers parcourus batterie vide – elle peut grimper jusqu’à près de 10 l/100 km. Mais avec une utilisation adaptée, ces XC60 PHEV présentent un coût d’usage intéressant.
Entre les versions Recharge T6 (15 CV, à partir de 72 130 €) et Recharge T8 (20 CV, à partir de 83 230 €), qui se partagent la même architecture électrique et affichent tous les deux 2 150 kg sur la balance, la puissance varie grâce au 2.0 litres. Il grimpe de 253 ch en T6 à 310 ch en T8, pour des puissances cumulées respectives de 350 et 455 ch.
La T6 revendique un 0 à 100 abattu en 5,7, un exercice qui ne prend que 4,9 secondes à la T8. Et dans les deux cas, la vitesse de pointe est plafonnée à 180 km/h. C’est surtout lorsque la batterie est vide que le XC60 T8 fait la différence avec le T6 mais ce dernier montre déjà des prestations remarquables, en toutes circonstances. Dans les deux cas, le SUV Volvo profite d’un réservoir identique à celui du diesel, avec 71 litres de capacité. L’autonomie totale reste donc très suffisante.
Notre conseil : la version T6, évidemment, qui se montre moins onéreuse et dont les prestations ne méritent que des éloges.
Le Volvo XC60 le plus recommandable ? Cela dépend des avis mais... selon auto-moto.com, la motorisation PHEV appelée T6, avec la finition Plus (ou Ultimate, selon le budget...), semble être la configuration idéale du SUV scandinave